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| Sujet: Re: - SOGGY CLOTHERS AND BREEZEBLOCKS Lun 18 Mar - 22:34 | |
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DRIVING ROUND TOWN - ILS NE COMPRENNENT PAS. - " - Il existe d'autres moyens de se défendre en cas d'agression. Y a les bombes au poivre. - Si un enfoiré me saute dessus pour me violer, j'ai pas juste envie de le faire éternuer, j'ai envie de le dessouder direct. " BOULEVARD DE LA MORT Elle était assise sur ce fauteuil qui lui semblait immense, ses petites jambes se balançaient dans l'air et malgré tous ses efforts elle ne parvenait pas à leur faire toucher le sol. Un silence de mort régnait dans le grand bureau, l'homme en face la regardait dans le blanc des yeux sans dire un seul mot, seul le lancinant "tic-toc" de la vieille pendule résonnait jusque dans sa cage thoracique. Mais Elliott n'avait pas l'air plus inquiète que ça. Au contraire, cette visite dans le bureau du proviseur lui permettait de louper quelques longues minutes avec Mrs. Payfield, que demander de mieux ? Le proviseur commença à s'exaspérer en voyant que la petite fille ne se sentait absolument pas concernée. « Mademoiselle Snozzle, savez-vous au moins pourquoi vous vous trouvez ici ? » Elle avait envie de lui rire à la figure, sa tête semblait gonfler à mesure qu'il parlait, devenant tour à tour rouge, violette puis blanche/verte. Son crâne complètement dégarni n'arrangeait pas son cas. « Surement parce que j'ai essayé de couper les cheveux de Sonja après avoir arraché le cou de sa peluche et cassé son nouveau bracelet ? » L'homme jeta un regard à la psychologue scolaire, en plus de ça, cette gamine était totalement lucide. Il se massa le front qui luisait à la lumière. « Et tu crois que nous pouvons tolérer un tel comportement dans notre école ? » Elliott, du haut de ses onze ans, gonfla les joues pour lui montrer à quel point ses questions pouvaient paraître idiotes. « Pas vraiment. Mais en même temps, elle n'avait pas qu'à ramener cette foutue peluche et son bracelet, les objets personnels et de valeurs sont interdits au sein de l'établissement, c'est dans le règlement. » Les deux adultes n'en revenaient pas de son culot, même si ce n'était pas nouveau. « Mais tes parents, ils ne te disent rien ? Tu agis de la même manière chez toi ? » Elle fit tout de suite moins la fière, ses sourcils se froncèrent et ses jambes arrêtèrent de gesticuler dans tous les sens. « J'ai pas d'parents ! » Le directeur se calma un peu, on aurait pu voir un soupçon de peine et de compatissance dans ses yeux. Il se tourna vers la psychologue qui était en train de fouiller dans le dossier d'Elliott. Elle tourna de nombreuses pages et fit un signe positif de la tête au proviseur Robbins. « En plus d'être violente envers tes camarades, tu es un menteuse Elliott. » La petite fille se leva du fauteuil et les larmes lui montèrent aux yeux. « Je ne mens pas ! J'ai pas de parents, ou si j'en ai, c'est comme si j'en avais pas. Si il y a un problème avec moi, c'est à cause d'eux ! » Il n'obtiendrait rien d'elle. Pas d'excuse, pas de remise en question, pas de réponse à leurs questions non plus. C'était encore une gosse laissée de côté par ses parents, chose courante à Overlea. Robbins appuya sur une petite sonnette en métal sur le coin de son bureau. A peine quelques secondes après, Juliet, la secrétaire se pointait. « Faite sortir la petite quelques temps je vous pris. » Elle acquiesça sans un mot et attrapa seulement la main d'Elliott pour l'emmener à l'extérieur de la pièce. Elle la fit s'asseoir sur un siège mitoyen au bureau. La blondinette tendit alors l'oreille pour écouter la discussion qui continuait sans elle. « Je ne sais pas quoi faire de cette gamine... Elle est, selon les dire de ses professeurs, d'une intelligence remarquable, très maligne est perspicace. Mais elle est aussi très violente, ne supporte pas les remontrances et ne suit pas les règles. Ce sont des éléments perturbateurs comme celui-ci dont nous devrions nous séparer pour redorer le blason de l'école. » Snoz ne rêvait que de ça, quitter cette école, arrêter de voir des vieux profs déprimés en face d'elle à longueur de journée. Déjà à cet âge elle rêvait d'une vie de liberté, sans contrainte. « On ne peut pas la laisser tomber, ses parents le font déjà. Il faut faire avec, l'aider à prendre sa place, lui montrer qu'on lui fait confiance et qu'elle est tout à fait capable d'avancer. » Elliott aurait aimé pouvoir prendre sa place, ses marques, accepter les limites, les règles, mais cela n'arriva et n'arrivera sans doute jamais.- ELLE RESTERA "ELLE" - " Y’a rien de plus ravissant que de voir un égo meurtri sur le beau visage d’un ange. " BOULEVARD DE LA MORT Elle était belle, là, à danser sans se soucier du monde qui l'entourait. Des garçons aventureux tentaient de l'approcher, mais quand elle ne les ignorait pas elle ne semblait pas leur accorder plus d'importance que ça. Elle était libre. Snoz ne la connaissait pas, mais une frivolité et une légèreté se dégageait de cette inconnue. Elle était belle. Si belle. Elliott s'était surpris à la fixer, à regarder le moindre de ses mouvements, de ses sourires. C'était la première fois qu'elle ressentait ça. Du moins pour une fille.
« C'est quoi cette histoire avec Jon ?! » Elle venait de débouler dans l'appartement dont Elliott lui avait donné un double des clefs. Elle n'avait pas prévenu de son arrivée, elle avait juste fait violemment claquer la porte derrière elle, pas un bonjour, rien, seulement cette question. Elliott leva les yeux de son journal et fixa Ivana en retenant un grand sourire. « Les histoires circulent vite dans le coin, j'avais oublié... » Alors qu'en face d'elle, la jolie blonde semblait hors d'elle, Snoz restait très calme. « Alors c'est vrai ?! » Elle avait les joues écarlates et de loin ses mains semblaient trembler, pourtant Elliott la trouvait toujours aussi jolie. « Faut croire. » Elle attrapa une lime qui traînait sur la table basse et commença à limer ses ongles, l'air de rien. « Elliott ! Tu te fous de moi ?! Je veux des explications. » Elle laissa s'échapper un soupir d'exaspération, claqua violemment la lime contre la table et se leva enfin, se mettant qu'à quelques pas d'Ivana. C'était à son tour d'hausser le ton. « J'ai aucune explication à te fournir. Je vois pas où est le problème. J'ai couché avec Jon, il s'avère que c'est l'un de tes amis et point barre. Y a rien à expliquer. » Elle voyait qu'au fur et à mesure de ses mots, les yeux d'Iv se remplissaient de larmes. Elle s'en voulait instantanément mais elle n'acceptait pas de perdre pied. « Pourquoi est-ce que tu fais ça Elliott ? T'as vraiment un problème ! » Des problèmes elle en avait des tas, qui ne faisaient qu'empirer. « N'essayes surtout pas de me faire une leçon de morale, tu ne vaux vraiment pas mieux ! » Le visage d'Ivana changea d'expression, passant de la colère à l'incompréhension. Elliott ne savait pas si elle jouait parfaitement bien la comédie ou si alors elle ne savait vraiment pas là où elle venait en venir. Mais elle était elle aussi en colère et n'était pas prête de se calmer. « Tu sais très bien de quoi je parle ! Tu crois que j'ai pas saisi ton petit jeu avec Milana ? Vous me prenez pour une abruti, persuadées que la pauvre Elliott ne se rendrait compte de rien. Si tu peux t'amuser avec elle alors il n'y a pas de raison pour que je me prive. » Elle criait de plus en plus fort et elle eut à son tour les larmes aux yeux. Ivana semblait toujours aussi perdue, elle se passait la main dans les cheveux et levaient les yeux au ciel comme si tout cette discussion n'avait ni queue ni tête. « Tu débloques vraiment ! Il n'y a absolument rien entre Milana et moi, on en a déjà parlé dix mille fois, faut que tu passes à autre chose ! » C'est vrai, le sujet avait déjà été abordé des milliard de fois mais Snoz ne pouvait pas s'en empêcher, l'alchimie entre Milana et Ivana était indéniable et ça la rendait folle. Peut être que c'était une réaction totalement égoïste, de jalousie pure et qui lui faisait dire n'importe quoi, mais elle avait l'impression de ne plus avoir la main mise sur Ivana et elle ne le supportait pas. « Je débloque ? Je débloque ?! C'est peut être toi qui est trop aveugle pour voir la vérité en face ! Elle te bouffe du regard et toi tu rentres dans son jeu. » Elle était fatiguée, cette discussion ne finirait jamais et chacune camperait sur sa position. Peut être qu'elles n'étaient pas faites pour aller ensemble, peut être que tout ça n'était qu'une simple erreur. « Et puis merde, tu sais quoi ? Va t'en. Va t'en et ne reviens pas, c'est pas la peine. Cette histoire, cette relation ne riment à rien. J'en ai ras-le-bol. » Elliott s'approcha de la porte d'entrée, elle retira les clefs qu'elle avait donné à Ivana de la serrure et l'ouvrit en attendant qu'elle s'en aille. « Elliott, arrête, s'il te plaît... Tu dis n'importe quoi. Cette relation ne veut pas rien dire, et Milana ce n'est rien. Est-ce que tu peux te calmer, qu'on en parle vraiment une bonne fois pour toute ? » Ellie ne voulait pas la regarder. « Va t'en Ivana. » « Elliott... » « Va t'en ! » Sa voix se brisa dans ces derniers mots. Ivana franchit le seuil de la porte et dévala les escaliers. La porte claqua derrière elle et Elliott se laissa glissa tout le long. Elle enfouit la tête dans ses jambes ramendées contre sa poitrine et fondit en larmes. Elle était stupide, complètement débile. Elle avait tout gâché, comme d'habitude. Elle s'en voulait terriblement. Mais elle s'était sentie trahie, elle avait eu l'impression d'être complètement abandonnée, laissée pour compte. Elle l'aimait pourtant, comme elle n'avait jamais aimé personne. Mais elle avait tout gâché. - LA RENCONTRE -" Un homme honnête, par le temps qui court, on en rencontre un sur dix mille. Lui il l'était pas, mais ça me va. " SHAKESPEARE + ELLIOTT La nuit était tombée il y a une bonne heure maintenant, Overlea n’était plus qu’un vaste quartier désert et silencieux. C’était toujours comme ça, aux alentours de sept heures du soir tout le monde rentrait chez soit. Les enfants arrêtaient de jouer sur les complexes sportifs, les plus vieux quittaient les terrains vagues et les adultes -mis à part ceux qui enchaînaient les heures supplémentaires- rentraient du boulot. Les trafiques en tout genre se déroulaient plutôt tard, vers milieu de la nuit. Même Coonan Sector et ses rues commerçantes étaient laissés pour compte. Mais ça ne dérangeait pas Elliott, bien au contraire. Elle aimait marcher dans ces rues délaissées, n’entendre que le sifflement du vent s’engoufrant dans des culs de sac, admirer la valse des papiers au sol. Elle parevenait, par on ne sait quel mirable, à trouver de la beauté dans ce paysage morne et gris. Ce soir là, elle s’était assise sur un mur en béton faisant balancer ses jambes comme elle aimait le faire étant petite et s’était allumé un joint. Elle le fumait en s’imagineant une vie meilleure : de grandes espaces verts, un ciel vraiment bleu, des gens heureux, un fond musical autre que celui des quasi incéssants coups de feu. Mais ce rêve de douce utopie s’arrêta nette quand elle entendit des hurlements qui semblaient provenir du tikrit grocery. Cette voix elle la connaissait bien. C’était celle de Bill, propriétaire de la supérette en question. Elle aimait vraiment beaucoup ce type, un ami de longue date de ses parents. Supporter l’ambiance glauque et pesante qui régnait chez elle avait été un réel supplice ; mais quand Bill venait manger à la maison c’était vraiment autre chose. Elle se souvient par cœur de tous ces soirs là où elle riait aux éclats pendant toute la soirée. Mais ce dont elle se souvenait encore mieux, c’était cette incroyable sensation que quelqu’un s’inquiétait et tenait vraiment à elle. Bill n’avait jamais eu l’habitude de s’énerver ou de hausser le ton. Alors intriguée elle s’était derigée vers l’échoppe. Elle était passée devant le sandy's barber - dont les stores avaient été baissés il y a déjà un bout de temps- puis devant le j.j. foley's - où des pilliers de bar étaient déjà dans un bel état d’ébrieté - et j’atteignis enfin la tikrit grocery. Elle put alors entendre plus clairement l’échange houleux. « Espèce de petit enfoiré ! Je me crève le cul à aider des jeunes dans ton genre, et voilà comment vous me le rendez ! » Elle s’était approchée encore un peu plus, se cachant surement très maladroitement derrière les grosses pastèques et les quelques pommes qui restaient dehors. « J’en ai par dessus la tête de vos vols, de vos braquages, de vos menaces ! » Elle ne l’avait jamais vu comme ça le vieux Bill. Le plus étonnant c’est que la personne à qui il parlait ne semblait pas moufeter. « Bouge pas de là, j’vais appeler les flics et tu vas voir, ils vont te remettre sur le droit chemin. » Elle n’en croyait pas ses oreilles, lui, appeler la police ? C’était le premier à tenter de réincérer les jeunes d’Overlea dans une cadre supposé normal. Tout le monde savait qu’il se faisait régulièrement voler des choses, mais il n’en voulait jamais aux jeunes. Il avait un bon fond Bill. Mais là, ça devait être un mauvais jour. Sauf que du coup, elle avait pitié pour le pauvre gars qui se faisait verbalement passer à tabac. Et sans trop savoir ce qui lui prenait, elle est rentrée à l’intérieur. « Hé Bill ! » Il était tout rouge mais quand il l’apperçut il se calma immédiatement et afficha un petit sourire bienveillant. « Ellie, qu’est-ce que tu fiches ici ? » Il savait très bien qu’elle trainait souvent dans le coin, pas forcément dans le meilleur état qu’il soit. Mais il continuait de s’inquiéter. « C’est pas franchement le bon moment tu vois. T’as besoin de quelque chose ? »[/color] Il n’arrêtait pas de tourner sa tête, elle faisait des aller/retour : il voulait surement pas perdre le gars des yeux. Le garçon, tiens, parlons-en. Il avait une capuche sur la tête, mais les cheveux qui en dépassaient laissaient imaginer une chevelure brune et bouclée. Il n’avait pas l’air méchant même si sa mâchoire était complètement contractée. Il avait la tête baissée et fixait inlassablement le sol mais il était beau, elle en était sûre. Sans le connaître elle avait l’impression qu’il voulait simplement passer inaperçu, ne pas faire de vague. Elle avait envie de l’aider. « Ouais… J’ai entendu un morceau de l’histoire et ça m’a intriguée, du coup je suis venue voir. T’as pas vraiment l’habitude de gueuler comme ça Bill ! » Le garçon avait toujours la tête fermement baissée, mais il n’arrêtait pas de taper frénétiquement le sol avec son pied. « Ouais, mais j’crois bien que là j’en peux plus. J’allais appeler les flics. » Il avait surement dût s’engueuler avec Martha. « Fait pas ça Bill, je le connais. » Ca avait semblé réveiller le type qui leva immédiatement la tête vers Elliott. Il fronça les sourcils d’un air inquisiteur. Pendant quelques secondes il sembla chercher dans ses souvenirs, voir si il l’avait déjà vue ou non. Bil semblait tout aussi perplexe et incrédule. Mais elle continua comme si de rien n’était. « C’est Jon, je le connais par Ivana. S’il te plaît, appelle pas les fliques. Sa mère est malade et son petit frère est mort à cause des Compton Varrio Largo. Ils ont plus de thune tu vois ? » Elle ne savait pas trop si elle possédait un don naturel pour mentir ou si c’était l’effet du spliff qui commençait à la faire divaguer, mais en tout cas elle sortait tout ça avec un naturel déconcertant. Bill se tourna vers lui. « C’est vrai ça ? » Le faux Jon se décontracta un peu et rentra dans le jeu sans trop de problème. « J’aime pas me plaindre, mais oui m’sieur… » Bill émit un long soufflement et secoua sa tête de droite à gauche puis finit par balancer sur le comptoir les articles qu’il avait visiblement trouvés dans les mains du voleur. « C’est des petites frappes comme toi qui vont causer ma perte ! Que Dieu me préserve. » Snoz s’approcha de lui et posa ses mains sur ses épaules pour lui faire un court massage. « Penses à sa mère Bill... » Et puis il finit par baisser les armes. « Allez, dégage petit ! Et c’est vraiment grâce à elle que tu finiras pas la nuit en taule. » Le garçon décampa en moins de deux. Elle devait bien avouer qu’elle l’avait un peu en travers de la gorge, elle aurait bien aimé un merci ou même un signe de remerciement, mais rien, que dalle. Mais elle avait le sentiment d’avoir effectué une bonne action, alors elle s’en foutait un peu au fond. « Merci beaucoup Bill, t’es vraiment trop cool ! » Elle lui fit un bisou sur la joue et se cassa juste après. Elle était prête à retrouver Duke ou Ellis pour savoir si elle avait avoir besoin de jouer la passeuse dans pas longtemps mais en sortant de l’épicerie, quelques mètres plus loin,une voix l’interpella. « Hé ! » Il faisait vraiment sombre dans la rue, mais sa silhouette était reconaissable, entre autre grâce à son sweat à capuche. « Merci, t’étais pas oligée. » Elle souriait niaisement, vraiment fière d’elle. « Bill n’appelle jamais ces connards de flics, j’aurais trouvé ça injuste qu’il le fasse aujourd’hui. » Comme à peu près tout les habitants d’Overlea, elle nourrissait une vraie haine contre les policiers, ils foutaient leur nez partout. « T’aurais quand même pu t’en foutre, donc c’est cool. » Il avait un accent qui venait pas de Los Angeles, c’était clair. Un accent qui lui semblait d’ailleurs familier. Elle chercha quelques instants et se souvint de Pedro, un dealer qui venait d’une île dans les caraïbes et qui faisait des allers/retour entre Nasseau et la Colombie en faisait un énorme détour de temps en temps par Los Angeles. Elle se lança. « Tu viens des Bahamas ? » Elle aurait bien voulu voir plus distinctement son visage mais son accent la séduisait déjà. « Ca s’entend tant que ça ? » Elle haussa les épaules et se mit à rire. Elle était vraiment forte ce soir. Par contre elle ne savait pas comment on devait se présenter aux Bahamas alors elle tenta le coup de la main tendue. « Elliott. » Il sembla plûtot surpris, ça ne devait sûrement pas être la bonne méthode, mais il tendit la sienne en retour. « Jamal. » Un prénom aussi exotique que son accent, ça lui plaisait de plus en plus. « Mais Jon c’était pas mal aussi. » Elle commença à agiter ses bras dans tous les sens : « Oh non, crois-moi, t’as pas franchement envie de t’appeler Jon. » Après de longues heures de conversations, il finit par comprendre pourquoi Jon n’était pas tellement une bonne idée.
4 - Le marché. Gentleman, you had my curiosity. But now you have my attention.Alii nullo quaerente vultus severitate adsimulata patrimonia sua in inmensum extollunt, cultorum ut puta feracium multiplicantes annuos fructus, quae a primo ad ultimum solem se abunde iactitant possidere, ignorantes profecto maiores suos, per quos ita magnitudo Romana porrigitur, non divitiis eluxisse sed per bella saevissima, nec opibus nec victu nec indumentorum vilitate gregariis militibus discrepantes opposita cuncta superasse virtute.
Dernière édition par Elliott Snozzle le Sam 23 Mar - 15:15, édité 23 fois |
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